Départ vers LAS VEGAS à travers le Haut désert du Mojave.
On quitte Los Angelès et ça met du temps, malgré les autoroutes à 6 ou huit voies. Un petit détail : les véhicules qui transportent plus d'une personne circulent sur une voie prioritaire, donc plus rapide.
Pendant ce temps là, un hélico en station fixe nous rappelle que le président OBAMA est en visite à L.A.
et puis, après la ville, le désert, pour nous rappeler que L.A. est une ville qui a été gagnée sur le désert, par l'irrigation .
Bon, si on parle de désert, un peu de culture :
Le désert des Mojaves est dans sa majeure partie recouvert de plaines rocailleuses, parfois interrompues par des massifs montagneux. Une des caractéristiques de ce désert est la présence d'une espèce de yucca nommée Joshua Tree.
La région reçoit moins de 150 mm de précipitations par an, mais se situe à des altitudes assez élevées, comprises entre 1000 et 2000 mètres. C'est pourquoi il arrive que la neige y tombe en certains endroits pendant la saison hivernale. L'amplitude thermique, d’une saison à l'autre, varie de façon très importante.
Le vent y souffle fort et régulièrement, c'est pourquoi une série d'éoliennes a été installée près du col de Tehachapi. Pour cette raison, le désert de Mojave occupe la première place mondiale pour la production d'énergie éolienne.
Il faut reconnaître que les américains, quand ils entreprennent une action, c'est toujours géant....champ d'éoliennes à perte de vue :
ici en arrière plan ; et au premier plan un train, comme on en rencontre beaucoup dans ce désert, avec deux ou trois motrices (2 en traction, une en queue pour soutenir) et un nombre de wagons qui dépasse la centaine.
Et des kilomètres qui s'enchainent, avec les éoliennes, le paysage désertique, .....
Petite pause à Randsburg, village abandonné (on pourrait dire aussi village fantôme) aux antiquaires, après l'interruption de l'activité minière….
Moins touristique, mais certainement plus authentique que Calico que nous visiterons plus tard.
Très peu d'habitants, mais accueillants : " d'Où venez-vous ? de France ! Oh! Bienvenue !"
La Vallée de la mort (Death Valley) fait partie de ce désert.
C'est aussi un Parc National, où il ne fait certainement pas bon circuler en été.En été, la chaleur peut atteindre jusqu’à 57°C et en hiver, la température peut descendre jusqu’à -10°C.
Donc couche de sel ( épaisse couche de boue mêlée à la saumure et au Borax (bore+sodium+calcium=eau = le Salt Pan) ) avec arrière plan de montagnes enneigées....
Dunes de sable jusqu’à Mosaic Canyon
Déjeuner au cœur d’une oasis.(Furnace Creek ! la bien nommée en été !) oasis plantée à 54 m en dessous du niveau de la mer.
Inutile de dire qu'on y mange ...de la cuisine américaine, c'est à dire n'importe quoi : crudités et n'oublions pas le sucré dans les crudités, gratin de macaronis à la bolognèse (enfin quelque chose d'approchant) , dessert improbable, et café transparent.
il y a par contre ce petit" borax museum" dont l' entrée est gratuite qui évoque le temps où on exploitait le borax qu'on amenait, avec des convois de mules impressionnants, jusqu'au chemin de fer.
et c'est reparti pour des kilomètres de désert, avec des paysages impressionants parfois,
jusqu' à l'apparition d'une ville fantastique, en plein désert :LAS VEGAS.
autour de la ville, les maisons de ceux qui y travaillent, et au centre, les casinos.
Il y a deux espaces pour les casinos : le centre "historique" et le "strip" , succession d'hôtels casinos démesurés, aux décors fantastiques (enfin il faut apprécier le goût du kitsch ) et qui incorporent des salles de spectacle extraordinaires.
Nous sommes logés à l'hôtel Casino "Four queens" dans le centre "historique" ; donc, avec sa petite valise, on traverse les salles de jeux et on se rend dans sa chambre.
Un petit Mac Do vite fait, et comme la nuit est tombée, c'est le moment, moyennant un petit supplément de 45 dollars, de faire le tour des meilleures attractions du "Strip" ...et ça vaut le déplacement et l'occasion d'une nouvelle page.
Inutile de dire qu'on y mange ...de la cuisine américaine, c'est à dire n'importe quoi : crudités et n'oublions pas le sucré dans les crudités, gratin de macaronis à la bolognèse (enfin quelque chose d'approchant) , dessert improbable, et café transparent.
il y a par contre ce petit" borax museum" dont l' entrée est gratuite qui évoque le temps où on exploitait le borax qu'on amenait, avec des convois de mules impressionnants, jusqu'au chemin de fer.
et c'est reparti pour des kilomètres de désert, avec des paysages impressionants parfois,
jusqu' à l'apparition d'une ville fantastique, en plein désert :LAS VEGAS.
autour de la ville, les maisons de ceux qui y travaillent, et au centre, les casinos.
Il y a deux espaces pour les casinos : le centre "historique" et le "strip" , succession d'hôtels casinos démesurés, aux décors fantastiques (enfin il faut apprécier le goût du kitsch ) et qui incorporent des salles de spectacle extraordinaires.
Nous sommes logés à l'hôtel Casino "Four queens" dans le centre "historique" ; donc, avec sa petite valise, on traverse les salles de jeux et on se rend dans sa chambre.
Un petit Mac Do vite fait, et comme la nuit est tombée, c'est le moment, moyennant un petit supplément de 45 dollars, de faire le tour des meilleures attractions du "Strip" ...et ça vaut le déplacement et l'occasion d'une nouvelle page.
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